phone 032 968 38 40
PETITE ENCYCLOPEDIE DE LA PENSEE DU MONDE - DE LA GRECE ANTIQUE A STONEHENGE
Yves Petelle
- Référence SENT1303
- EAN 9782922940039
-
Editeur
SENTINELLE
Description
PETITE ENCYCLOPEDIE DE LA PENSEE DU MONDE
Yves Petelle
Editions Sentinelle
Encyclopédie traitant de philosophie, d’occultisme de sectes et du Nouvel Age, des médecines douces etc… Cet ouvrage explique l’origine, la nature et l’enseignement de chacun. L’ouvrage compte plus de 1.400 pages dont près de 100 en couleurs, 1000 passages bibliques mis en perspective avec les sujets traites, ainsi que 300 biographies, certaines succinctes, d’autres plus complètes, permettant au lecteur d’avoir accès à des informations susceptibles de l’aider à mieux comprendre les sujets abordés dans cet ouvrage. « … nul autre dans la francophonie n’était en mesure de mieux nous éclairer sur ces questions qu’un ancien astrologue ! Connaissant pour ainsi dire le sujet de l’intérieur, il a développé sa maturité chrétienne et sa connaissance des Ecritures depuis plus de trente-cinq ans."
Détails du produit
- Langue
- Français
Avis du libraire
sentiment_satisfied Cet ouvrage est retenu dans notre assortiment.
Cet ouvrage dénonce les pensées non chrétiennes du monde. Une masse très importante d’informations est mise à disposition par l’auteur qui a touché à certains des domaines évoqués. Il s’exprime en « je » et évoque parfois son expérience personnelle ; cela correspond bien au style d’arguments présentés. Le français est proche du langage parlé et parfois incorrect, pages 78, 317, 332, 642. L’ouvrage donne un peu l’impression d’un patchwork de copier-coller d’Internet où les informations ne sont pas toujours vérifiées. Les critiques adressées aux pensées ne sont pas toujours pertinentes (Confucius p. 114-115 -remarque sur le tutoiement, p. 344 - développement sans rapport avec Dante, p.165-166), et certaines informations sont incorrectes (étymologie latine du yoga, p. 588 - mention du NT, p. 117 (les penseurs du Moyen-Orient) - Mischna et Gémara écrites à l’époque de Jésus, p. 846 - « tradition » traduit le mot Kabala, p. 860). A relever encore une affirmation un peu légère à la page 353 (parents qui prient = salut presque assuré), un propos arbitraire quant à la psychologie à la page 379 et un manque de compassion pour les perdus en bas de la page 523. Certains choix sont difficilement compréhensibles : pourquoi ne pas expliquer ce qu’est le channeling (p.511) ? - Pourquoi ne pas évoquer la thèse de la bonté de l’homme à propos de Rousseau (p.143) ? - Pourquoi ne pas évoquer les thèses principales de Platon (p.41-43) ? On en sait souvent plus sur les personnages que sur leur pensée. Un peu plus de « rigueur scientifique » aurait été bienvenue, avec l’objectivité qu’elle implique.
Cet ouvrage dénonce les pensées non chrétiennes du monde. Une masse très importante d’informations est mise à disposition par l’auteur qui a touché à certains des domaines évoqués. Il s’exprime en « je » et évoque parfois son expérience personnelle ; cela correspond bien au style d’arguments présentés. Le français est proche du langage parlé et parfois incorrect, pages 78, 317, 332, 642. L’ouvrage donne un peu l’impression d’un patchwork de copier-coller d’Internet où les informations ne sont pas toujours vérifiées. Les critiques adressées aux pensées ne sont pas toujours pertinentes (Confucius p. 114-115 -remarque sur le tutoiement, p. 344 - développement sans rapport avec Dante, p.165-166), et certaines informations sont incorrectes (étymologie latine du yoga, p. 588 - mention du NT, p. 117 (les penseurs du Moyen-Orient) - Mischna et Gémara écrites à l’époque de Jésus, p. 846 - « tradition » traduit le mot Kabala, p. 860). A relever encore une affirmation un peu légère à la page 353 (parents qui prient = salut presque assuré), un propos arbitraire quant à la psychologie à la page 379 et un manque de compassion pour les perdus en bas de la page 523. Certains choix sont difficilement compréhensibles : pourquoi ne pas expliquer ce qu’est le channeling (p.511) ? - Pourquoi ne pas évoquer la thèse de la bonté de l’homme à propos de Rousseau (p.143) ? - Pourquoi ne pas évoquer les thèses principales de Platon (p.41-43) ? On en sait souvent plus sur les personnages que sur leur pensée. Un peu plus de « rigueur scientifique » aurait été bienvenue, avec l’objectivité qu’elle implique.
145,20 CHF
hourglass_top
Avec délai
chat
Commentaires (1)
Note